Mardi 1 février
20:00 -
Salle d'ensemble
3, quai Chauveau
Lyon 9e
Gratuit. Réservation et pass sanitaire obligatoires
Lionel Sow, conception et encadrement pédagogique
Olivier Bizot, récitant
Melissa Le Suave, flûte
Avec les illustrations des étudiants du DSAA, option Design d’illustration scientifique de l’Ecole Estienne à Paris :
Jeanne Sterkers (l’empereur), Marie David (l’évêque et le gentilhomme), Clémence Foucher (le gentilhomme et le médecin), Claire Painchaud (le marchand et le lancequenet), Giulia Laconelli (le marin), Milo Laville (le paysan et l’ermite), Léna Marty (la jeune fille), Guillaume Levasseur (le vieillard), Flavie Mauvais (l’enfant).
Encadrement pédagogique :
Patrick Pleutin, Michèle Mabille et Mathieu Lambert
Johannes Brahms (1833-1897)
14 Deutsche Volkslieder, WoO 34 - 3 strophes
Schnitter Tod
Choeur a cappella
Philippe Hersant (1948-)
5 miniatures pour flûte
Miniature N°4
Johannes Brahms (1833-1897)
Warum ist das Licht gegeben, op. 74 n°1
Choeur, a cappella
André Jolivet (1905-1974)
Pour que l’image devienne symbole, pour flûte
Hugo Distler (1908-1942)
Totentanz
Choeur a cappella, flûte et récitant
Johann Sebastian Bach (1685-1750)
Sonata BWV 1013 pour flûte solo
Sarabande
Max Reger (1873-1916)
Three motets op. 110
O Tod, wie bitter bist duChoeur, a cappella
La Totentanz de Hugo Distler est un chef d’œuvre méconnu du répertoire a cappella. Composée en 1934, elle s’inspire de la Danse macabre de Lübeck (détruite en 1942). Le récitant invite dans sa danse tout le genre humain, des puissants de ce monde jusqu’aux plus petits enfants. Le chœur répond par des sentences spirituelles tirées du Pèlerin chérubinique d’Angelus Silesius (1657).
Elle est encadrée par deux œuvres plus anciennes qui ont néanmoins des résonances communes. Hugo Distler puise son inspiration dans la musique médiévale et renaissance par l’utilisation d’un contrepoint raffiné et adapté au langage harmonique de son époque.