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Aux portes de la terre

Le Théâtre Astrée accueille nos étudiants porteurs d'un projet artistique résolument contemporain, dans une dynamique d'insertion professionnelle.

Ce partenariat avec le Théâtre Astrée de l’Université Lyon 1 propose chaque année des résidences de création à plusieurs ensembles d’étudiants. Ces derniers, ayant préalablement répondu à un appel à projets, sont sélectionnés pour monter un spectacle faisant intervenir différentes disciplines (musique, danse, vidéo, théâtre, arts graphiques…).
Avec la volonté de proposer une écriture nouvelle ou se situant dans une recherche expérimentale, les jeunes artistes sont autonomes dans leur projet et ont à leur disposition pour le développer, une scène, des techniciens, un service de communication, et un public auquel il présente le résultat de leur travail.
Ces résidences permettent l’émergence de nouvelles formes artistiques et sont également un lieu d’échanges entre les artistes et le public, un lieu de réflexion, d’intention et d’innovation. Le CNSMD de Lyon, fermement ancré dans sa politique d’insertion professionnelle, encourage ce genre d’initiatives auprès des étudiants.

vendredi 11 mars, 19h19

Théâtre Astrée
Université Claude Bernard Lyon 1, Campus de la Doua,
6 avenue Gaston Berger, Villeurbanne
Entrée gratuite

Cécile Costa-Coquelard, alto et coordination

Florent Duverger, percussions
Jeune ballet contemporain/Département danse du CNSMD de Lyon
Anne Martin, chorégraphie

Facsar (2016), chorégraphie d’Anne Martin,
sur la Sonate pour alto seul de György Ligeti.

Voci (2015), chorégraphie d’Anne Martin,
sur Naturale su melodie siciliane de Luciano Berio,
pour alto, percussion et voix enregistrée

Aux portes de la terre

est un spectacle imaginé par l’altiste Cécile Costa-Coquelard et chorégraphié par Anne Martin pour le Jeune Ballet et les étudiants de danse contemporaine du CNSMD de Lyon.
Porté par l’évocation de musiques traditionnelles magnifiées par Berio et Ligeti, il interroge notre rapport au patrimoine et puise aux racines culturelles.
De la ninna nanna sicilienne (berceuse) au chant des Carpates, en passant par le swing du jazz, les identités singulières s’estompent peu à peu pour dessiner un portrait métis, trait d’union de nos différentes cultures. Cette richesse de représentations inspire l’univers chorégraphique, livrant un récit authentique et actuel du paradoxe de notre identité plurielle.

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